Un petit, enfin un grand sac au crochet, qui m'a accompagné tout l'été ... (oui, il parait qu'il existe une saison appelée "été")
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(Patron perso; Anses en bambou : Prym chez rascol) |
Il a un air 70's que j'adore ! Voici donc la panoplie du parfait vacancier : un sac estival, un chapeau de paille, des espadrilles et un bon bouquin !
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(tissus : Toto, Lille; boutons de mon stock) |
Je l'ai entièrement doublé avec du tissu, et il comprend une poche centrale, qui permet une séparation. Je me félicite de l'avoir mise d'ailleurs, ça m'évite de sortir la lampe frontale pour chercher mes clés !
Je vais m'accorder un petit écart pour vous parler d'un bouquin : "Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi" de Katherine Pancol. Cela faisait plus d'un an que je trépignais devant les rayonnages des librairies, que je pestais face aux éditions de luxe à 20 euro le pavé ! Vous ne trouvez pas ça indécent de vendre des livres à ce prix là ! Et puis, non seulement le poids du livre fait que ça tue les bras, qu'en on bouquine le soir tranquillou dans le lit, mais en plus c'est pas du tout pratique dans le métro !
Enfin bon, ça y est, il est enfin sorti en version poche (à 9 euros, c'est déjà plus raisonnable !). Donc après "Les yeux jaunes des crocodiles et "La valse lente des tortues", je me délecte enfin du dernier tome de cette trilogie, que j'affectionne particulièrement.
Pour vous donner un aperçu (et accessoirement pour illustrer les photos qui vont suivre), je vais vous citer l'extrait qui figure sur la couverture du livre :
"Souvent la vie s'amuse. Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d'un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
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Côté face |
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés ignorent les détails. Ils veulent du lourd, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d'un homme tremblant.
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Côté pile |
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue...Et la vie n'est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi ..."
Je vous laisse avec cet extrait qui fais méditer ... En ce qui me concerne, à la fin de chacun de ses livres, je relativise et reprends confiance en la vie et la nature des hommes ...